Jean-Pierre Camus, Traité des passions de l'âme, Max Vernet et Élodie Vignon (source: F. Assaf

Jean-Pierre Camus

Traitté des passions de l’ame

Édition de Max Vernet et Élodie Vignon

En 1614, dans le premier traité des passions écrit en vernaculaire, Camus transmet, en s’appuyant sur les traditions antique et chrétienne, l’idée que les passions sont en soi « indifférentes », ne produisant d’actes bons ou mauvais que selon les décisions du libre-arbitre qui est en cela aidé par l’amour de Dieu.

In 1614, in the first treatise of the passions to be written in the vernacular, Camus, relying on both classical and Christian traditions, conveys the idea that passions are in themselves ‘indifferent’ and simply produce good or bad acts according to the decisions made by our free will, which is helped by the Love of God. 

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